
Plusieurs milliers. Parfois plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Et cela même sans avoir commis de faute, ni avoir été condamné.
Pourquoi ?
Parce que dès qu’un client vous met en cause, les frais de défense sont pour vous.
Avocat, expert, procédure… tant que la responsabilité n’est pas reconnue ou couverte, c’est au manager de supporter la charge financière.
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Une idée fausse : “La RC Pro, c’est utile seulement s’il y a une faute.”
C’est une idée reçue… et dangereuse.
Une RC Pro efficace ne sert pas uniquement à vous défendre en cas de faute reconnue.
Elle est là pour vous protéger dès la mise en cause, c’est-à-dire dès le moment où un tiers vous demande des comptes.
Or, ce point de bascule peut arriver :
– Sur la base d’un simple désaccord stratégique,
– À la suite d’un changement de gouvernance ou d’actionnariat,
– Lorsqu’un incident survient des mois après la fin de votre mission, et que vos décisions passées sont remises en question.
Dans tous ces cas, vous pouvez être impliqué dans une procédure sans avoir rien à vous reprocher.
Et si vous n’êtes pas bien couvert, vous en assumerez seul les conséquences financières et juridiques.
Quels sont les scénarios fréquents pour les litiges ?
Il ne s’agit pas de cas extrêmes.
Voici des exemples très concrets de situations vécues par des managers de transition :
• Un plan de restructuration que vous avez piloté est contesté par un salarié licencié, qui engage une action aux prud’hommes plusieurs mois plus tard.
• Une stratégie commerciale ou opérationnelle que vous avez recommandée échoue après votre départ, et l’entreprise cherche un responsable.
• Un partenaire attaque votre ancien client, et vous êtes cité dans la procédure pour les choix faits pendant votre mission.
• Une décision prise dans le cadre d’un projet sensible est jugée trop risquée par la nouvelle direction, qui vous met en cause pour mauvaise gestion.
Dans chacun de ces cas, vous pouvez être mis en cause personnellement, même si la mission est terminée, même si votre contrat est clos, et même si vous n’avez plus aucun lien avec l’entreprise.
Les erreurs de couverture les plus fréquentes ?
Avoir une assurance ne suffit pas.
Encore faut-il qu’elle soit réellement adaptée à votre métier et à ses spécificités.
Voici les lacunes les plus fréquentes dans les contrats standard :
• Pas de garantie post-mission ou une durée trop courte (ex. 12 mois au lieu de 5 ans)
→ Résultat : vous n’êtes plus couvert si un litige survient au-delà de ce délai.
• Pas de couverture des fautes de gestion ou décisions stratégiques
→ Or, ce sont précisément les situations où vous êtes le plus souvent exposé.
• Plafond de garantie trop bas par rapport à votre chiffre d’affaires ou à la taille des missions réalisées
→ En cas de contentieux majeur, votre contrat ne suffit pas à couvrir les frais.
• Absence d’assistance juridique ou prise en charge tardive
→ Ce qui vous oblige à avancer les frais, voire à vous défendre seul au départ.
Conséquence directe : vous pensiez être assuré, mais vous ne l’êtes pas au moment critique.
Combien peut coûter un litige ?
Ce n’est pas une hypothèse.
Ce sont des ordres de grandeur concrets, issus de situations réelles :
• Frais d’avocat et d’expertise judiciaire : entre 10 000 et 50 000 €
→ Dès la mise en cause, il faut constituer un dossier, se faire représenter, répondre aux convocations.
• Dommages et intérêts : entre 50 000 et 500 000 €
→ Si votre responsabilité est reconnue, les montants peuvent atteindre des niveaux très élevés.
• Coût invisible :
– Votre réputation peut être affectée,
– Vous perdez des opportunités de mission pendant la procédure,
– Vous subissez une charge mentale importante.
Même sans être condamné, un simple contentieux peut vous coûter cher, longtemps.
La bonne question n’est pas “Suis-je assuré ?” mais “Suis-je bien protégé ?”
Beaucoup de managers se contentent d’un contrat RC Pro généraliste, souvent proposé par leur société de portage ou pris en urgence.
Mais un contrat trop générique ne suffit pas face à la complexité des responsabilités d’un manager de transition.
Ce qu’il faut viser, c’est une vraie protection sur-mesure, qui tienne compte :
– De la nature stratégique de vos missions,
– Des enjeux économiques et sociaux associés,
– Du décalage temporel entre vos décisions et les conséquences qu’elles peuvent générer.
Chez Galileo Lab, nous faisons les choses autrement.
Nous avons conçu une RC Pro dédiée aux managers de transition, pensée avec des experts du métier.
→ Une garantie subséquente étendue, pour couvrir les recours post-mission jusqu’à 5 ans.
→ Une prise en charge des frais dès la mise en cause, sans attendre de condamnation.
→ Une couverture des fautes de gestion, contentieux sociaux, décisions stratégiques.
→ Une approche qui protège votre patrimoine, votre réputation et votre tranquillité d’esprit.
Conclusion : anticipez avant qu’un simple litige ne devienne un problème personnel
Vous êtes manager de transition.
Vous intervenez dans des contextes exigeants, complexes, souvent instables.
Vos décisions engagent.
Et même si vous êtes rigoureux, expérimenté, prudent…
vous n’êtes jamais à l’abri d’une mise en cause.
Alors avant d’en faire les frais, posez-vous les bonnes questions :
• Mon contrat me protège-t-il au-delà de ma mission ?
• Suis-je couvert dès la mise en cause, ou uniquement en cas de faute reconnue ?
• Mes frais juridiques seront-ils pris en charge intégralement et rapidement ?
Chez Galileo Lab, on ne vend pas une assurance.
On construit une protection à la hauteur de votre métier.
→ Contactez un expert pour faire le point sur vos besoins
Contactez un expert pour en savoir plus !
F.A.Q
Oui, en fonction des clauses du contrat et des décisions prises durant la mission.
Elle est fortement recommandée et souvent exigée par les entreprises clientes.
Un courtier spécialisé négocie des garanties adaptées et optimise la protection juridique.